« L’Ankoù derrière la porte » est un roman policier un peu particulier. Ecrit en argot avec lexique en bas de page, il ne contient pas les ingrédients habituels des romans policiers : poursuites échevelées, bagarres et cadavres encombrant chaque chapitre… Notre commissaire non conformiste va devoir « tricocher[1] » pour un ami d’enfance qui s’estime victime de la malédiction de l’Ankoù, cet ouvrir de la Mort qui hante les campagnes bretonnes. Avec sa légendaire décontraction, son humour habituel et son impertinence, notre héros va régler cette sordide affaire tout en vous emmenant à la découverte d’une Bretagne envoutante et bien réelle…

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[1] Tricocher : enquête qu’un policier effectue pour son compte personnel